L’un-pression paranoïaque et la continuité des jouissances

Pour « revisiter » la paranoïa, je souhaite mettre l’accent sur ce qui l’approche de la névrose et l’éloigne de la schizophrénie. Alors que certains lacaniens prônent la dissolution des catégories cliniques en raison du nombre de cas inclassables et soutiennent un abord de la clinique à partir de la théorie des nœuds borroméens de Lacan, je tiens à souligner dans ce séminaire la nécessité de faire un diagnostic des structures subjectives et de leurs types cliniques.

Lacan jusqu’à la fin de son enseignement n’a jamais abandonné ces distinctions, non seulement entre névrose et psychose mais aussi entre paranoïa et schizophrénie. Le sujet paranoïaque est retenu par cet Un qui ne le tâche pas et à partir duquel il entre en relation avec les autres…

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